Lorsque l’on pense “développe­ment souten­able”, on pense certes “envi­ron­nement”, mais pour que l’objectif de souten­abil­ité soit atteint, d’autres dimen­sions entrent en jeu notam­ment les enjeux économiques, tech­niques ou encore sociaux. 

C’est dès 1993 que l’UTC s’est don­né pour objec­tif de con­cili­er tech­nolo­gie et envi­ron­nement. Con­cevoir un pro­duit, un équipement, un procédé ou des méth­odes pour min­imiser l’im­pact glob­al ou iden­ti­fi­er les sources de nui­sance, telle est la démarche adop­tée par l’université. Riche des com­pé­tences com­plé­men­taires de ses dif­férents lab­o­ra­toires et de la qual­ité de sa recherche, l’université est bien placée, d’une part, pour éval­uer et maîtris­er les risques que le développe­ment tech­nologique peut faire courir à l’environnement et, d’autre part, pour trou­ver des solu­tions tech­nologiques en réponse aux enjeux environnementaux. 

De la con­cep­tion d’un pro­duit aisé­ment recy­clable à l’optimisation d’un procédé de fab­ri­ca­tion afin de le ren­dre plus pro­pre et/ou moins éner­gi­vore à la mise en place d’une fil­ière per­for­mante de traite­ment de déchets ultimes et leur val­ori­sa­tion ou encore à la détec­tion de pol­lu­tions par des méth­odes biologiques, c’est une démarche sys­témique qui est privilégiée. 

Des prob­lé­ma­tiques qui impliquent aus­si des enjeux économiques et soci­aux. D’où la place accordée à l’enseignement des sci­ences humaines. Dans tous ces domaines, l’UTC a des atouts à faire val­oir, que ce soit en matière de for­ma­tion, de recherche que d’innovation.